Nos communes

 

Entrez dans le Pays de Cocagne, ici il fait bon vivre...

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  La situation d’Ambres dit assez bien que ce village fut de haut lignage. Si les limites de la commune ont été revues à la baisse en 1826 sous la restauration de Charles X afin de la différencier de Giroussens, son histoire, elle, excède ses dimensions géographiques, remonte au Moyen-Âge, au temps des cathédrales et […]

La seigneurie d’Azas, qui faisait partie primitivement de celle de Saint-Sulpice et des domaines du Comte de Toulouse, puis de Sicard Alaman, s’est signalée très tôt dans l’histoire par l’étendue des libertés accordées à ses habitants. Ils jouissaient d’un droit de refuge dans le fort et du privilège d’être administrés dès 1301 par des consuls […]

Bannières tire son nom de l’occitan « Banheriis » qui signifie « terres trop humides, mouillées ». Ce terme est relevé dans un texte datant de 1272.

  Les habitantes et habitants de Belcastel sont très fiers de s’appeler des Belcasteloises et des Belcastelois, Belcasteleses en langue occitane, laquelle a toujours droit de cité sur ces terres voisines du Pays de Cocagne.

Le territoire de la commune résulte de la réunion en 1825 des deux communes de Sénil et Garrigues.

Au gré des balades, monuments historiques, patrimoine rural ou nature, sauront satisfaire les attentes des visiteurs…

Sa petite église dédiée à Notre Dame se distingue par son très joli clocher mur tout en briques roses et en arrondi.

La ville que nous avons sous les yeux aujourd’hui porte dans l’ordonnancement de ses rues, dans la majesté de ses monuments, la marque de sa grandeur d’origine. Au temps de la Croisade albigeoise qui devait faire sa célébrité et son malheur, les chroniqueurs la décrivaient ainsi : « Jamais homme ne vit en terre plaine, […]

Elle a ressuscité d’entre les flammes et les bûchers allumés par les routiers en 1376, venus de Giroussens sous la conduite de Pierre de Galard, capitaine au service des Anglais, mais qui agissait là au nom du comte d’Armagnac.

Cette petite commune rurale est l’addition de deux hameaux, Saint Sauveur, nom de l’Eglise actuelle, et Preignan, ancienne paroisse rattachée à Marzens en 1826.

Comme son nom l’indique, Massac Séran est l’addition de deux communes. De Séran, il reste la petite église Saint-Etienne, aujourd’hui en cours d’aménagement.

Situé sur les coteaux dominant la plaine du Lauragais, Moncabrier vit paisiblement à l’ombre de l’église Notre Dame.

Village rural, Roquevidal s’enorgueillit d’un imposant manoir fortifié, édifié aux XIIIème et XIVème siècles. Il est aujourd’hui inscrit aux Monuments Historiques.

Des Saint-Agnanais nouveaux ont rejoint ce village du Tarn qui fait revivre en le rénovant l’habitat rural.

Le nom de Saint-Jean-de-Rives qu’on suppose avoir été donné à ces lieux à cause de la présence de deux cours d’eau, l’Agout et le ruisseau de la Boutié, figure dès 1272 dans un registre de la cathédrale Saint-Alain de Lavaur.

Saint-Lieux-lès-Lavaur sur la rive gauche de l’Agout n’échappe pas à la règle qui régit les bourgs et communes de la vallée. Elle a fait partie des possessions du comté de Toulouse.

On repère de loin Saint-Sulpice-la-Pointe lorsque le soleil dore l’imposant clocher-mur de Notre-Dame qui domine la ville, du haut de ses quarante mètres de briques roses. Une église forteresse proche dans son architecture et son esprit de Notre-Dame du Taur de Toulouse.

L’histoire de la commune de Teulat s’inscrit dans son paysage, ses champs de blé, de maïs et de tournesols, dans ses ruisseaux, ses sentiers, ses bosquets de chênes et d’acacias.

Un petit coin de Toscane dans les collines du Vaurais, ainsi pourrait-on définir Veilhes.

Le village est attesté dès le Xème siècle et laisse à penser qu’il a été édifié sur l’emplacement d’une villa gallo romaine.

Son nom évoque un lieu de marécages et d’étangs où l’on conservait autrefois poissons et crustacés.